[article] 
inRevue de l'Académie d'agriculture (La) > N°10 (01/10/2016) . - 60-67 p

Titre :	Améliorer la photosynthèse pour augmenter les rendements des cultures : le cas du riz
Type de document :	Article
Auteurs :	Jean-François Morot-Gaudry, Auteur
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	60-67 p
Langues :	Français (fre)
Catégories :	[Thesagri] biochimie [Thesagri] biologie végétale [Thesagri] photosynthèse [Thesagri] recherche agronomique [Thesagri] rendement d'une culture
Note de contenu :	Les végétaux ne récupèrent par la photosynthèse qu’un millième de l’énergie solaire reçue par la planète. C’est pourquoi augmenter les rendements des cultures en agissant sur les processus photosynthétiques reste une préoccupation constante des généticiens et des agronomes. On sait aujourd’hui qu’il existe chez les végétaux deux mécanismes principaux de photosynthèse, baptisés C3 et C4. Ce dernier étant le plus performant sous certaines conditions climatiques, un objectif des chercheurs est de l’introduire chez les plantes cultivées les plus vitales qui n’en disposent pas, comme par exemple le riz.

[article] Améliorer la photosynthèse pour augmenter les rendements des cultures : le cas du riz [Article] / Jean-François Morot-Gaudry, Auteur . - 2016 . - 60-67 p.
Langues : Français (fre)
in Revue de l'Académie d'agriculture (La) > N°10 (01/10/2016) . - 60-67 p

Catégories :

[Thesagri] biochimie [Thesagri] biologie végétale [Thesagri] photosynthèse [Thesagri] recherche agronomique [Thesagri] rendement d'une culture

Note de contenu :

Les végétaux ne récupèrent par la photosynthèse qu’un millième de l’énergie solaire reçue par la planète. C’est pourquoi augmenter les rendements des cultures en agissant sur les processus photosynthétiques reste une préoccupation constante des généticiens et des agronomes. On sait aujourd’hui qu’il existe chez les végétaux deux mécanismes principaux de photosynthèse, baptisés C3 et C4. Ce dernier étant le plus performant sous certaines conditions climatiques, un objectif des chercheurs est de l’introduire chez les plantes cultivées les plus vitales qui n’en disposent pas, comme par exemple le riz.