Titre : |
L'économie politique n'est pas une science morale |
Type de document : |
Ouvrage |
Auteurs : |
Bruno Amable ; Stefano Palombarini |
Editeur : |
Paris : Raison d'agir |
Année de publication : |
2005 |
Importance : |
286 p. |
Format : |
18 cm |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-912107-22-0 |
Prix : |
8,19 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
[Thesagri] conflit social [Thesagri] convention collective [Thesagri] économie de marché [Thesagri] économie sociale [Thesagri] morale [Thesagri] politique [Thesagri] vie sociale
|
Index. décimale : |
SB-2 France |
Note de contenu : |
Prologue
Le libéralisme et la négation du politique
La « science économique »
Les voix dissonantes
De la théorie de la régulation à l'économie des conventions : Une dérive normative
Introduction
Les institutions dans la théorie économique : entre fonctionnalisme et moralisme
Régulation et conventions : une mésalliance
L'impasse de l'économie des conventions
Le « modèle des cités » au centre de l'économie des conventions
La confusion généralisée entre morale, politique et analyse
1. la confusion de l'éthique et du politique
Conventions et institutions
1. L'anthropologie moralisante de l'économie des conventions
1.1 L'anthropologie de l'économie des conventions : l'homme comme « être moral »
1.2 La morale contre l'intérêt et les critique à la sociologie critique
1.3 L'impossible objectivation, ou le primat du « Sujet » sur la structure
1.4 La confusion du positif et du normatif : l'économie des conventions comme philosophie morale
2. Entre consensus et pluralisme, la dénégation du politique
2.1 Une socio-économie du consensus
2.2 L'irréductible pluralité des conceptions du bien
2.3 Une vision singulière et incertaine du politique
3. Les introuvables solutions à l'« inter-cité »
3.1 Le mythe fragile du dialogue libre, honnête et désintéressé
3.2 La tentation du rapport de force
3.3 La confusion entre l'esprit du capitalisme et le capitalisme lui-même
3.4 Les rapports de force, indispensables à la dynamique des « cités »
3.5 Le droit : un deus ex machina qui échappe à l'interprétation ?
Conclusions : l'économie des conventions, plus philosophie morale qu'économie politique
2. Vers une économie politique néo-réaliste
4. L'approche néo-réaliste : éléments de philosophie politique
4.1 L'inéluctable séparation de l'éthique et du politique
4.2 La pééminence logique de la crise
4.3 L'inadéquation théorique du concept d'intérêt général
4.4 De la justification à l'échange politique
5. idéologie et régulation du conflit social
5.1 Hétéronomie des fins et dynamique institutionnelle
5.2 Autonomie du politique et économie politique
5.3 L'adieu au normativisme et nos critiques à la théorie de la régulation
5.4 Idéologie et validation politique des structures sociales
5.5 L'idéologie de l'économie des conventions : la troisième voie
5.6 La viabilité d'une configuration sociale repose sur celle du bloc dominant
Conclusion : vers une théorie néo-réaliste du changement institutionnel
- Pour un renouveau de la théorie de la régulation
- Premiers jalons pour une analyse néo-réaliste des institutions
- Vers une théorie du changement institutionnel
- Science et politique, une séparation fondatrice
Bibliographie |
L'économie politique n'est pas une science morale [Ouvrage] / Bruno Amable ; Stefano Palombarini . - Paris : Raison d'agir, 2005 . - 286 p. ; 18 cm. ISBN : 978-2-912107-22-0 : 8,19 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
[Thesagri] conflit social [Thesagri] convention collective [Thesagri] économie de marché [Thesagri] économie sociale [Thesagri] morale [Thesagri] politique [Thesagri] vie sociale
|
Index. décimale : |
SB-2 France |
Note de contenu : |
Prologue
Le libéralisme et la négation du politique
La « science économique »
Les voix dissonantes
De la théorie de la régulation à l'économie des conventions : Une dérive normative
Introduction
Les institutions dans la théorie économique : entre fonctionnalisme et moralisme
Régulation et conventions : une mésalliance
L'impasse de l'économie des conventions
Le « modèle des cités » au centre de l'économie des conventions
La confusion généralisée entre morale, politique et analyse
1. la confusion de l'éthique et du politique
Conventions et institutions
1. L'anthropologie moralisante de l'économie des conventions
1.1 L'anthropologie de l'économie des conventions : l'homme comme « être moral »
1.2 La morale contre l'intérêt et les critique à la sociologie critique
1.3 L'impossible objectivation, ou le primat du « Sujet » sur la structure
1.4 La confusion du positif et du normatif : l'économie des conventions comme philosophie morale
2. Entre consensus et pluralisme, la dénégation du politique
2.1 Une socio-économie du consensus
2.2 L'irréductible pluralité des conceptions du bien
2.3 Une vision singulière et incertaine du politique
3. Les introuvables solutions à l'« inter-cité »
3.1 Le mythe fragile du dialogue libre, honnête et désintéressé
3.2 La tentation du rapport de force
3.3 La confusion entre l'esprit du capitalisme et le capitalisme lui-même
3.4 Les rapports de force, indispensables à la dynamique des « cités »
3.5 Le droit : un deus ex machina qui échappe à l'interprétation ?
Conclusions : l'économie des conventions, plus philosophie morale qu'économie politique
2. Vers une économie politique néo-réaliste
4. L'approche néo-réaliste : éléments de philosophie politique
4.1 L'inéluctable séparation de l'éthique et du politique
4.2 La pééminence logique de la crise
4.3 L'inadéquation théorique du concept d'intérêt général
4.4 De la justification à l'échange politique
5. idéologie et régulation du conflit social
5.1 Hétéronomie des fins et dynamique institutionnelle
5.2 Autonomie du politique et économie politique
5.3 L'adieu au normativisme et nos critiques à la théorie de la régulation
5.4 Idéologie et validation politique des structures sociales
5.5 L'idéologie de l'économie des conventions : la troisième voie
5.6 La viabilité d'une configuration sociale repose sur celle du bloc dominant
Conclusion : vers une théorie néo-réaliste du changement institutionnel
- Pour un renouveau de la théorie de la régulation
- Premiers jalons pour une analyse néo-réaliste des institutions
- Vers une théorie du changement institutionnel
- Science et politique, une séparation fondatrice
Bibliographie |
|  |