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Microflore digestive des volailles : facteurs de variation et conséquences pour l'animal (La) / S. Mallet ; P. Sibille ; I. Gabriel in INRA : productions animales, Vol. 18, n° 5 ([01/01/2005])

Public ISBD [article]  inINRA : productions animales > Vol. 18, n° 5 [01/01/2005] . - p. 309-322 Titre : Microflore digestive des volailles : facteurs de variation et conséquences pour l'animal (La) Type de document : Article Auteurs : S. Mallet ; P. Sibille ; I. Gabriel Article en page(s) : p. 309-322 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] alimentation des animaux [Thesagri] digestion [Thesagri] élevage [Thesagri] microbiologie [Thesagri] santé animale [Thesagri] volaille Note de contenu : La flore digestive des oiseaux reste incomplètement connue compte tenu des méthodes utilisées jusqu’à présent. Elle se trouve principalement dans le jabot et les caeca, mais aussi, bien que numériquement moins importante, dans l’intestin. Dans la partie supérieure du tube digestif, les bactéries anaérobies facultatives dominent, alors que les caeca hébergent surtout des bactéries anaérobies strictes. Cette microflore dépend de nombreux facteurs tels que l’individu, son âge, son environnement, et son alimentation. Elle est responsable de la production de différents métabolites qui peuvent être utiles ou nuisibles à l’hôte. Les interactions entre la microflore et la muqueuse intestinale sont à l’origine de nombreuses modifications structurales et fonctionnelles du tube digestif. La microflore entraîne une baisse de la digestibilité des lipides riches en acides gras saturés et peut modifier la digestion des glucides et des protéines. Elle entraîne une augmentation des besoins énergétiques et en acides aminés. Elle a un impact négatif sur la nutrition vitaminique. La flore indigène peut avoir un effet protecteur contre les micro-organismes néfastes et est responsable en partie du développement du système immunitaire intestinal. Globalement la présence d’une flore affecte négativement la croissance. Elle peut aussi avoir des effets sur la qualité des produits animaux (viande, œuf). Une connaissance plus approfondie de la microflore et de ses effets permettra à l’avenir de mieux la contrôler pour l’orienter dans un but bénéfique aussi bien pour l’animal que pour le producteur, le consommateur, et l’environnement. 1 / Caractérisation de la flore digestive du poulet 1.1 / Description et localisation dans le tractus digestif 1.2 / Facteurs de variation 2 / Production de métabolites par la flore digestive 2.1 / Produits bénéfiques 2.2 / Produits néfastes 2.3 / Produits à effets mixtes 3 / Impact sur la physiologie digestive 3.1 / Modifications anatomiques et physiologiques du tractus digestif 3.2 / Production et hydrolyse du mucus 3.3 / Modifications du transit intestinal 4 / Conséquences sur la valeur nutritionnelle de l'aliment 4.1 / Digestion des aliments 4.2 / Métabolisme azoté et énergétique 4.3 / Minéraux et vitamines 4.4 / Impact sur l'environnement 5 / Role sur la sante de l'animal 5.1 / Protection contre les micro-organismes néfastes 5.2 / Stimulation du système immunitaire 5.3 / Développement de pathologies 6 / Conséquences pour les productions animales 6.1 / Croissance 6.2 / Qualité des produits 7 / Contrôle de la microflore [article] Microflore digestive des volailles : facteurs de variation et conséquences pour l'animal (La) [Article] / S. Mallet ; P. Sibille ; I. Gabriel . - p. 309-322. Langues : Français (fre) in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 5 [01/01/2005] . - p. 309-322 Catégories : [Thesagri] alimentation des animaux [Thesagri] digestion [Thesagri] élevage [Thesagri] microbiologie [Thesagri] santé animale [Thesagri] volaille Note de contenu : La flore digestive des oiseaux reste incomplètement connue compte tenu des méthodes utilisées jusqu’à présent. Elle se trouve principalement dans le jabot et les caeca, mais aussi, bien que numériquement moins importante, dans l’intestin. Dans la partie supérieure du tube digestif, les bactéries anaérobies facultatives dominent, alors que les caeca hébergent surtout des bactéries anaérobies strictes. Cette microflore dépend de nombreux facteurs tels que l’individu, son âge, son environnement, et son alimentation. Elle est responsable de la production de différents métabolites qui peuvent être utiles ou nuisibles à l’hôte. Les interactions entre la microflore et la muqueuse intestinale sont à l’origine de nombreuses modifications structurales et fonctionnelles du tube digestif. La microflore entraîne une baisse de la digestibilité des lipides riches en acides gras saturés et peut modifier la digestion des glucides et des protéines. Elle entraîne une augmentation des besoins énergétiques et en acides aminés. Elle a un impact négatif sur la nutrition vitaminique. La flore indigène peut avoir un effet protecteur contre les micro-organismes néfastes et est responsable en partie du développement du système immunitaire intestinal. Globalement la présence d’une flore affecte négativement la croissance. Elle peut aussi avoir des effets sur la qualité des produits animaux (viande, œuf). Une connaissance plus approfondie de la microflore et de ses effets permettra à l’avenir de mieux la contrôler pour l’orienter dans un but bénéfique aussi bien pour l’animal que pour le producteur, le consommateur, et l’environnement. 1 / Caractérisation de la flore digestive du poulet 1.1 / Description et localisation dans le tractus digestif 1.2 / Facteurs de variation 2 / Production de métabolites par la flore digestive 2.1 / Produits bénéfiques 2.2 / Produits néfastes 2.3 / Produits à effets mixtes 3 / Impact sur la physiologie digestive 3.1 / Modifications anatomiques et physiologiques du tractus digestif 3.2 / Production et hydrolyse du mucus 3.3 / Modifications du transit intestinal 4 / Conséquences sur la valeur nutritionnelle de l'aliment 4.1 / Digestion des aliments 4.2 / Métabolisme azoté et énergétique 4.3 / Minéraux et vitamines 4.4 / Impact sur l'environnement 5 / Role sur la sante de l'animal 5.1 / Protection contre les micro-organismes néfastes 5.2 / Stimulation du système immunitaire 5.3 / Développement de pathologies 6 / Conséquences pour les productions animales 6.1 / Croissance 6.2 / Qualité des produits 7 / Contrôle de la microflore

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Modalités et risques de transfert des polluants organiques persistants vers le lait / C. Feidt ; S. Jurjanz ; N. Grova ; Guido Rychen ; Cécile Crépineau-Ducoulombier in INRA : productions animales, Vol. 18, n° 5 ([01/01/2005])

Public ISBD [article]  inINRA : productions animales > Vol. 18, n° 5 [01/01/2005] . - p. 355-366 Titre : Modalités et risques de transfert des polluants organiques persistants vers le lait Type de document : Article Auteurs : C. Feidt ; S. Jurjanz ; N. Grova ; Guido Rychen ; Cécile Crépineau-Ducoulombier Article en page(s) : p. 355-366 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] lait [Thesagri] ruminant Note de contenu : Les activités humaines produisent des composés polluants tels que les Polluants Organiques Persistants (POP) qui peuvent dans certains cas entraîner des risques de contamination des activités agricoles. Ces molécules posent des problèmes de transfert dans la chaîne alimentaire, notamment vers les produits animaux. Les POP sont caractérisés par une forte rémanence, une volatilité élevée et une lipophilie marquée entraînant leur accumulation potentielle dans les tissus adipeux. Ce groupe de molécules potentiellement toxiques pour l’homme et l’environnement fait l’objet d’une attention internationale. L’objectif de cette synthèse est d’aborder le devenir de trois familles de composés POP, de type hydrocarbures polycycliques : les dioxines-furanes (PCDD/F), les polychlorobiphényles (PCB) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Les résultats de recherche montrent une contamination significative des fourrages situés en zones exposées aux polluants par comparaison avec des zones isolées. Ils mettent également en évidence un transfert différentiel de ces molécules toxiques vers les matrices biologiques dont le lait. [article] Modalités et risques de transfert des polluants organiques persistants vers le lait [Article] / C. Feidt ; S. Jurjanz ; N. Grova ; Guido Rychen ; Cécile Crépineau-Ducoulombier . - p. 355-366. Langues : Français (fre) in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 5 [01/01/2005] . - p. 355-366 Catégories : [Thesagri] lait [Thesagri] ruminant Note de contenu : Les activités humaines produisent des composés polluants tels que les Polluants Organiques Persistants (POP) qui peuvent dans certains cas entraîner des risques de contamination des activités agricoles. Ces molécules posent des problèmes de transfert dans la chaîne alimentaire, notamment vers les produits animaux. Les POP sont caractérisés par une forte rémanence, une volatilité élevée et une lipophilie marquée entraînant leur accumulation potentielle dans les tissus adipeux. Ce groupe de molécules potentiellement toxiques pour l’homme et l’environnement fait l’objet d’une attention internationale. L’objectif de cette synthèse est d’aborder le devenir de trois familles de composés POP, de type hydrocarbures polycycliques : les dioxines-furanes (PCDD/F), les polychlorobiphényles (PCB) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP). Les résultats de recherche montrent une contamination significative des fourrages situés en zones exposées aux polluants par comparaison avec des zones isolées. Ils mettent également en évidence un transfert différentiel de ces molécules toxiques vers les matrices biologiques dont le lait.

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