
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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REV-00001921 | Vol. 17, n° 4 - 01/01/2004 | Revue | Archives sur place | Documentaires | Disponible |
Dépouillements


Diversité des exploitations laitières européennes et les effets différenciés de la réforme de la PAC de juin 2003 (La) / V. Chattellier ; V. Jacquerie in INRA : productions animales, Vol. 17, n° 4 ([01/01/2004])
[article]
Titre : Diversité des exploitations laitières européennes et les effets différenciés de la réforme de la PAC de juin 2003 (La) Type de document : Article Auteurs : V. Chattellier ; V. Jacquerie Article en page(s) : p. 315-333 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] Europe
[Thesagri] politique agricole européenneNote de contenu : L'objectif de cet article est, d'une part, de rendre compte de la forte diversité des exploitations laitières européennes et, d'autre part, d'analyser les effets supposés de la réforme de la Politique agricole commune (PAC) de juin 2003 sur leurs résultats économiques (revenu, aides directes, estimation du paiement unique). En s'appuyant sur les données individuelles du Réseau d'Information Comptable Agricole (RICA) des quinze Etats membres, cette analyse prend en compte les principales caractéristiques des exploitations laitières réparties selon plusieurs bassins de production, systèmes techniques, classes de taille (quota laitier par exploitation) et classes de performances économiques (suivant une méthode de classification privilégiant trois indicateurs). Dans l'hypothèse d'une baisse intense du prix du lait, la réforme de la PAC se manifesterait par une fragilisation importante du revenu des exploitations spécialisées et économiquement peu performantes. Dans tous les cas, elle entraînera une augmentation importante du poids des aides directes dans la formation du revenu des producteurs de lait. Le montant du paiement unique par hectare diffèrera de façon importante entre bassins de production, mais également au sein de chacun d'eux, en fonction principalement du niveau d'intensification et du système fourrager.
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 315-333[article] Diversité des exploitations laitières européennes et les effets différenciés de la réforme de la PAC de juin 2003 (La) [Article] / V. Chattellier ; V. Jacquerie . - p. 315-333.
Langues : Français (fre)
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 315-333
Catégories : [Thesagri] Europe
[Thesagri] politique agricole européenneNote de contenu : L'objectif de cet article est, d'une part, de rendre compte de la forte diversité des exploitations laitières européennes et, d'autre part, d'analyser les effets supposés de la réforme de la Politique agricole commune (PAC) de juin 2003 sur leurs résultats économiques (revenu, aides directes, estimation du paiement unique). En s'appuyant sur les données individuelles du Réseau d'Information Comptable Agricole (RICA) des quinze Etats membres, cette analyse prend en compte les principales caractéristiques des exploitations laitières réparties selon plusieurs bassins de production, systèmes techniques, classes de taille (quota laitier par exploitation) et classes de performances économiques (suivant une méthode de classification privilégiant trois indicateurs). Dans l'hypothèse d'une baisse intense du prix du lait, la réforme de la PAC se manifesterait par une fragilisation importante du revenu des exploitations spécialisées et économiquement peu performantes. Dans tous les cas, elle entraînera une augmentation importante du poids des aides directes dans la formation du revenu des producteurs de lait. Le montant du paiement unique par hectare diffèrera de façon importante entre bassins de production, mais également au sein de chacun d'eux, en fonction principalement du niveau d'intensification et du système fourrager. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité REV-00001921 Vol. 17, n° 4 - 01/01/2004 Revue Archives sur place Documentaires Disponible Elevage bovin et l'environnement en France : le diagnostic justifie-t-il des alternatives techniques ? (L') / Vincent Chatellier ; R. Verité in INRA : productions animales, Vol. 17, n° 4 ([01/01/2004])
[article]
Titre : Elevage bovin et l'environnement en France : le diagnostic justifie-t-il des alternatives techniques ? (L') Type de document : Article Auteurs : Vincent Chatellier ; R. Verité Article en page(s) : p. 231-249 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] élevage bovin
[Thesagri] environnement
[Thesagri] pollution agricoleNote de contenu : Les relations entre l'élevage bovin et l'environnement sont complexes avec des implications positives (occupation du territoire, forte autonomie du système alimentaire, maintien de la biodiversité) et d'autres négatives (augmentation des teneurs en nitrates et en phosphore des eaux, émission de gaz à effet de serre). Ces relations sont historiquement et localement étroitement dépendantes de facteurs techniques (niveau d'intensification des superficies fourragères, productivité des facteurs de production, plans de fertilisation, conditions de stockage des effluents d'élevage,...). Elles sont également fortement influencées par certaines considérations économiques (évolution de la consommation, prise en compte dans le prix des produits du respect d'engagements environnementaux,...) et politiques (fixation de normes environnementales, mode d'intervention des pouvoirs publics dans la gestion collective de l'offre et dans la répartition territoriale des productions, mécanisme d'attribution des droits à primes,...). L'analyse de ces relations est rendue délicate par la diversité des systèmes de production et l'imbrication des problèmes de gestion du végétal et de l'animal. Outre les incitations incombant aux politiques agricoles, plusieurs évolutions techniques pourraient interagir dans le sens d'une amélioration de la relation à l'environnement. Ces évolutions techniques, ponctuelles (suppression des gaspillages et ajustement plus précis des intrants, gestion des déjections,...) ou plus radicales (modification des systèmes des production), seront possibles si elles s'accompagnent d'une amélioration sociale et/ou économique à l'échelle de l'exploitation.
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 231-249[article] Elevage bovin et l'environnement en France : le diagnostic justifie-t-il des alternatives techniques ? (L') [Article] / Vincent Chatellier ; R. Verité . - p. 231-249.
Langues : Français (fre)
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 231-249
Catégories : [Thesagri] élevage bovin
[Thesagri] environnement
[Thesagri] pollution agricoleNote de contenu : Les relations entre l'élevage bovin et l'environnement sont complexes avec des implications positives (occupation du territoire, forte autonomie du système alimentaire, maintien de la biodiversité) et d'autres négatives (augmentation des teneurs en nitrates et en phosphore des eaux, émission de gaz à effet de serre). Ces relations sont historiquement et localement étroitement dépendantes de facteurs techniques (niveau d'intensification des superficies fourragères, productivité des facteurs de production, plans de fertilisation, conditions de stockage des effluents d'élevage,...). Elles sont également fortement influencées par certaines considérations économiques (évolution de la consommation, prise en compte dans le prix des produits du respect d'engagements environnementaux,...) et politiques (fixation de normes environnementales, mode d'intervention des pouvoirs publics dans la gestion collective de l'offre et dans la répartition territoriale des productions, mécanisme d'attribution des droits à primes,...). L'analyse de ces relations est rendue délicate par la diversité des systèmes de production et l'imbrication des problèmes de gestion du végétal et de l'animal. Outre les incitations incombant aux politiques agricoles, plusieurs évolutions techniques pourraient interagir dans le sens d'une amélioration de la relation à l'environnement. Ces évolutions techniques, ponctuelles (suppression des gaspillages et ajustement plus précis des intrants, gestion des déjections,...) ou plus radicales (modification des systèmes des production), seront possibles si elles s'accompagnent d'une amélioration sociale et/ou économique à l'échelle de l'exploitation. Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité REV-00001921 Vol. 17, n° 4 - 01/01/2004 Revue Archives sur place Documentaires Disponible Productivité et qualité du poulet de chair / André Beaumont ; H. Juin ; Pascale Magdelaine in INRA : productions animales, Vol. 17, n° 4 ([01/01/2004])
[article]
Titre : Productivité et qualité du poulet de chair Type de document : Article Auteurs : André Beaumont ; H. Juin ; Pascale Magdelaine Article en page(s) : p. 265-273 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] appellation d'origine
[Thesagri] label de certification
[Thesagri] productivité
[Thesagri] rentabilitéNote de contenu : Le poulet de chair a connu une amélioration spectaculaire de sa productivité, grâce aux progrès concomitants des méthodes d'élevage, de la nutrition, de la génétique et de la médecine vétérinaire. Ces progrès se sont traduits par une forte réduction de l'âge à l'abattage, principal déterminant de la qualité sensorielle de la viande. Ce critère a été le principal élément de la segmentation qualitative de la filière. Débutée dès les années 1960, celle-ci a conduit à la différenciation entre poulets standard, d'appellation d'origine contrôlée, Label et certifiés.
Un second axe de segmentation, plus récent, porte sur le degré d'élaboration des produits : vente sous forme de carcasses, de morceaux de découpe ou de produits élaborés et ce sont ces deux derniers types de produits qui se développent aujourd'hui.
La productivité des produits standard est la plus élevée, mais l'écart avec celle du poulet certifié apparaît assez réduit et pourrait être compensé par les garanties de traçabilité et production qu'apporte la certification. En terme de qualité aussi, une partie des différences s'estompent, parce que les préférences du consommateur évoluent et que la différence de goût est surtout marquée pour les cuisses, moins bien valorisées que les filets. Les différences d'aptitude à la transformation sont en faveur des souches à croissance rapide. Par ailleurs, si les animaux peuvent davantage exprimer leur comportement naturel sur parcours, ils courent un risque accru de contamination microbienne.
Face à ce bilan contrasté, il semble difficile de prédire l'avenir de la production avicole. Mais il apparaît clairement que le poulet certifié, intermédiaire entre poulet standard et poulet Label se développera fortement.
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 265-273[article] Productivité et qualité du poulet de chair [Article] / André Beaumont ; H. Juin ; Pascale Magdelaine . - p. 265-273.
Langues : Français (fre)
in INRA : productions animales > Vol. 17, n° 4 [01/01/2004] . - p. 265-273
Catégories : [Thesagri] appellation d'origine
[Thesagri] label de certification
[Thesagri] productivité
[Thesagri] rentabilitéNote de contenu : Le poulet de chair a connu une amélioration spectaculaire de sa productivité, grâce aux progrès concomitants des méthodes d'élevage, de la nutrition, de la génétique et de la médecine vétérinaire. Ces progrès se sont traduits par une forte réduction de l'âge à l'abattage, principal déterminant de la qualité sensorielle de la viande. Ce critère a été le principal élément de la segmentation qualitative de la filière. Débutée dès les années 1960, celle-ci a conduit à la différenciation entre poulets standard, d'appellation d'origine contrôlée, Label et certifiés.
Un second axe de segmentation, plus récent, porte sur le degré d'élaboration des produits : vente sous forme de carcasses, de morceaux de découpe ou de produits élaborés et ce sont ces deux derniers types de produits qui se développent aujourd'hui.
La productivité des produits standard est la plus élevée, mais l'écart avec celle du poulet certifié apparaît assez réduit et pourrait être compensé par les garanties de traçabilité et production qu'apporte la certification. En terme de qualité aussi, une partie des différences s'estompent, parce que les préférences du consommateur évoluent et que la différence de goût est surtout marquée pour les cuisses, moins bien valorisées que les filets. Les différences d'aptitude à la transformation sont en faveur des souches à croissance rapide. Par ailleurs, si les animaux peuvent davantage exprimer leur comportement naturel sur parcours, ils courent un risque accru de contamination microbienne.
Face à ce bilan contrasté, il semble difficile de prédire l'avenir de la production avicole. Mais il apparaît clairement que le poulet certifié, intermédiaire entre poulet standard et poulet Label se développera fortement.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité REV-00001921 Vol. 17, n° 4 - 01/01/2004 Revue Archives sur place Documentaires Disponible
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