
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements


Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils / L. Delaby ; J-L Peyraud in INRA : productions animales, Vol. 18, n° 4 ([01/01/2005])
[article]
Titre : Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils Type de document : Article Auteurs : L. Delaby ; J-L Peyraud Article en page(s) : p. 231-240 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] alimentation des animaux
[Thesagri] pâturage : utilisation
[Thesagri] production laitière bovine
[Thesagri] productivitéNote de contenu : Les prairies et le pâturage devraient constituer à l’avenir la base des systèmes laitiers durables. L’herbe pâturée est le fourrage le moins coûteux pour alimenter les vaches laitières et constitue un mode d’alimentation qui réduit l’impact environnemental des systèmes très intensifs tout en conférant une image plus «naturelle» aux systèmes laitiers. L’utilisation efficace de l’herbe au pâturage nécessite la mise au point de méthodes qui permettent de maximiser l’ingestion journalière d’herbe tout en assurant la production d’une quantité importante d’une herbe de qualité durant toute la saison de pâturage. Les opportunités d’accroître la part de l’herbe pâturée dans l’alimentation des vaches laitières existent en allongeant la saison de pâturage au printemps et/ou en automne et en pratiquant le report d’herbe sur pied en été. A ce titre, l’introduction de légumineuses, trèfle blanc notamment, dans les prairies doit être favorisée. Les possibilités de moduler la saisonnalité de la croissance de l’herbe existent au travers de la sélection fourragère, de la stratégie de fertilisation azotée ou des pratiques de pâturage. L’intérêt d’une réduction du chargement visant à maximiser les performances individuelles reste limité compte tenu des effets cumulatifs défavorables sur la qualité de l’herbe et sa valorisation. Par contre, l’accroissement de la proportion de feuilles grâce à des pratiques de pâturage appropriées au printemps permet d’accroître l’ingestion et de maintenir une hauteur résiduelle faible qui facilite la gestion du pâturage. Il reste à en évaluer les conséquences durant toute la saison de pâturage et son influence sur les performances annuelles par hectare. Dans un futur proche, le développement de méthodes et d’outils d’aide à la gestion du pâturage à la fois pour le rationnement des vaches laitières et pour la gestion des parcelles devrait donner confiance aux éleveurs et favoriser le retour du pâturage dans l’alimentation des vaches laitières.
1 / La vache et l'herbe ou comment accroître les quantités d'herbe ingérées et les performances individuelles au pâturage
1.1 / Les quantités d'herbe ingérées augmentent avec les besoins des animaux
1.2 / Accroître les quantités d'herbe offertes pour accroître les quantités d'herbe ingérées
1.3 / Accroître la disponibilité de l'herbe et sa qualité pour accroître les quantités d'herbe ingérées
2 / Les éleveurs et la gestion du pâturage ou comment améliorer la valorisation de l'herbe produite par le troupeau
2.1 / Accroître la période de croissance de l'herbe
2.2 / Accroître la durée de la saison de pâturage : une opportunité pour consommer plus d'herbe et accroître les performances animales
2.3 /Le chargement et le système de pâturage ont des effets limités sur les performances
2.4 / Améliorer les pratiques de pâturage et d'alimentation pour améliorer l'utilisation de l'herbe
3 / Méthodes et ouils disposinibles pour donner confiance aux éleveurs herbagers
3.1 / Alimentation à l'échelle de la parcelle en cours de pâturage
3.2 / Alimentation à plus long terme à l'échelle de l'exploitation
Conclusion
Références
in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 4 [01/01/2005] . - p. 231-240[article] Combiner la gestion optimale du pâturage et les performances des vaches laitières : enjeux et outils [Article] / L. Delaby ; J-L Peyraud . - p. 231-240.
Langues : Français (fre)
in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 4 [01/01/2005] . - p. 231-240
Catégories : [Thesagri] alimentation des animaux
[Thesagri] pâturage : utilisation
[Thesagri] production laitière bovine
[Thesagri] productivitéNote de contenu : Les prairies et le pâturage devraient constituer à l’avenir la base des systèmes laitiers durables. L’herbe pâturée est le fourrage le moins coûteux pour alimenter les vaches laitières et constitue un mode d’alimentation qui réduit l’impact environnemental des systèmes très intensifs tout en conférant une image plus «naturelle» aux systèmes laitiers. L’utilisation efficace de l’herbe au pâturage nécessite la mise au point de méthodes qui permettent de maximiser l’ingestion journalière d’herbe tout en assurant la production d’une quantité importante d’une herbe de qualité durant toute la saison de pâturage. Les opportunités d’accroître la part de l’herbe pâturée dans l’alimentation des vaches laitières existent en allongeant la saison de pâturage au printemps et/ou en automne et en pratiquant le report d’herbe sur pied en été. A ce titre, l’introduction de légumineuses, trèfle blanc notamment, dans les prairies doit être favorisée. Les possibilités de moduler la saisonnalité de la croissance de l’herbe existent au travers de la sélection fourragère, de la stratégie de fertilisation azotée ou des pratiques de pâturage. L’intérêt d’une réduction du chargement visant à maximiser les performances individuelles reste limité compte tenu des effets cumulatifs défavorables sur la qualité de l’herbe et sa valorisation. Par contre, l’accroissement de la proportion de feuilles grâce à des pratiques de pâturage appropriées au printemps permet d’accroître l’ingestion et de maintenir une hauteur résiduelle faible qui facilite la gestion du pâturage. Il reste à en évaluer les conséquences durant toute la saison de pâturage et son influence sur les performances annuelles par hectare. Dans un futur proche, le développement de méthodes et d’outils d’aide à la gestion du pâturage à la fois pour le rationnement des vaches laitières et pour la gestion des parcelles devrait donner confiance aux éleveurs et favoriser le retour du pâturage dans l’alimentation des vaches laitières.
1 / La vache et l'herbe ou comment accroître les quantités d'herbe ingérées et les performances individuelles au pâturage
1.1 / Les quantités d'herbe ingérées augmentent avec les besoins des animaux
1.2 / Accroître les quantités d'herbe offertes pour accroître les quantités d'herbe ingérées
1.3 / Accroître la disponibilité de l'herbe et sa qualité pour accroître les quantités d'herbe ingérées
2 / Les éleveurs et la gestion du pâturage ou comment améliorer la valorisation de l'herbe produite par le troupeau
2.1 / Accroître la période de croissance de l'herbe
2.2 / Accroître la durée de la saison de pâturage : une opportunité pour consommer plus d'herbe et accroître les performances animales
2.3 /Le chargement et le système de pâturage ont des effets limités sur les performances
2.4 / Améliorer les pratiques de pâturage et d'alimentation pour améliorer l'utilisation de l'herbe
3 / Méthodes et ouils disposinibles pour donner confiance aux éleveurs herbagers
3.1 / Alimentation à l'échelle de la parcelle en cours de pâturage
3.2 / Alimentation à plus long terme à l'échelle de l'exploitation
Conclusion
RéférencesExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Evolutions, dispersions et déterminants du revenu en élevage bovin allaitant charolais : Etude sur 15 ans (1989-2003) à partir d'un échantillon constant de 69 exploitations / Patrick Veysset ; M. Lherm ; Didier Bebin in INRA : productions animales, Vol. 18, n° 4 ([01/01/2005])
[article]
Titre : Evolutions, dispersions et déterminants du revenu en élevage bovin allaitant charolais : Etude sur 15 ans (1989-2003) à partir d'un échantillon constant de 69 exploitations Type de document : Article Auteurs : Patrick Veysset ; M. Lherm ; Didier Bebin Article en page(s) : p. 265-275 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] élevage bovin
[Thesagri] revenu : économie
[Thesagri] vacheNote de contenu : Malgré une forte restructuration et les réformes successives de la politique agricole commune, le revenu des exploitations professionnelles spécialisées en bovins viande est, en moyenne, toujours l’un des plus faibles de l’ensemble des exploitations françaises. Le suivi d’un groupe constant de 69 exploitations d’élevage bovin allaitant charolais du nord Massif Central sur 15 ans (de 1989 à 2003) montre une forte progression de la taille de ces exploitations et du cheptel à main-d’œuvre constante. Cette augmentation de la productivité du travail, réponse à la baisse constante du prix de la viande seulement en partie compensée par des aides, s’est accompagnée d’une évolution des systèmes de production (régression de l’engraissement des mâles et raccourcissement des cycles de production). La variabilité de notre échantillon s’exprime avant tout au travers de la taille (surface et cheptel), mais également du taux de spécialisation (élevage ou polyculture élevage) et du choix de système de production (engraissement ou non des animaux). Globalement, le revenu moyen par travailleur est resté stable, avec une dépendance accrue de celui-ci vis-à-vis des aides. La moyenne des revenus est quasi-identique quelque soit le système de production, mais la dispersion des revenus intra-système est relativement importante. Le revenu par travailleur reste toujours corrélé à des critères de taille (cheptel et/ou surface) mais avec la distinction suivante : avant la première réforme de la PAC, la taille du cheptel intervenait par les outputs qu’elle générait, après 1992 la taille intervient par les aides qu’elle permet de percevoir.
1 / Le réseau et les exploitations
1.1 / Les réseaux d'observation d'élevages
1.2 / L'échantillon
2 / Evolutions structurelles et techniques moyennes
2.1 / Evolution de la taille des exploitations
2.2 / Main-d'oeuvre et productivité du travail
2.3 / Assolement, intensification
2.4 / Systèmes de production
2.5 / Résultats techniques
2.6 / Variabilité inter-exploitations
3 / Evolutions, dispersions et déterminants de la marge bovine et du revenu
3.1 / Evolution de la marge et du revenu
4 / Déterminants des résultats économiques, discussion
Conclusion
Références
in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 4 [01/01/2005] . - p. 265-275[article] Evolutions, dispersions et déterminants du revenu en élevage bovin allaitant charolais : Etude sur 15 ans (1989-2003) à partir d'un échantillon constant de 69 exploitations [Article] / Patrick Veysset ; M. Lherm ; Didier Bebin . - p. 265-275.
Langues : Français (fre)
in INRA : productions animales > Vol. 18, n° 4 [01/01/2005] . - p. 265-275
Catégories : [Thesagri] élevage bovin
[Thesagri] revenu : économie
[Thesagri] vacheNote de contenu : Malgré une forte restructuration et les réformes successives de la politique agricole commune, le revenu des exploitations professionnelles spécialisées en bovins viande est, en moyenne, toujours l’un des plus faibles de l’ensemble des exploitations françaises. Le suivi d’un groupe constant de 69 exploitations d’élevage bovin allaitant charolais du nord Massif Central sur 15 ans (de 1989 à 2003) montre une forte progression de la taille de ces exploitations et du cheptel à main-d’œuvre constante. Cette augmentation de la productivité du travail, réponse à la baisse constante du prix de la viande seulement en partie compensée par des aides, s’est accompagnée d’une évolution des systèmes de production (régression de l’engraissement des mâles et raccourcissement des cycles de production). La variabilité de notre échantillon s’exprime avant tout au travers de la taille (surface et cheptel), mais également du taux de spécialisation (élevage ou polyculture élevage) et du choix de système de production (engraissement ou non des animaux). Globalement, le revenu moyen par travailleur est resté stable, avec une dépendance accrue de celui-ci vis-à-vis des aides. La moyenne des revenus est quasi-identique quelque soit le système de production, mais la dispersion des revenus intra-système est relativement importante. Le revenu par travailleur reste toujours corrélé à des critères de taille (cheptel et/ou surface) mais avec la distinction suivante : avant la première réforme de la PAC, la taille du cheptel intervenait par les outputs qu’elle générait, après 1992 la taille intervient par les aides qu’elle permet de percevoir.
1 / Le réseau et les exploitations
1.1 / Les réseaux d'observation d'élevages
1.2 / L'échantillon
2 / Evolutions structurelles et techniques moyennes
2.1 / Evolution de la taille des exploitations
2.2 / Main-d'oeuvre et productivité du travail
2.3 / Assolement, intensification
2.4 / Systèmes de production
2.5 / Résultats techniques
2.6 / Variabilité inter-exploitations
3 / Evolutions, dispersions et déterminants de la marge bovine et du revenu
3.1 / Evolution de la marge et du revenu
4 / Déterminants des résultats économiques, discussion
Conclusion
RéférencesExemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire
Se connecter
Mot de passe oublié ?Adresse
23 rue Jean Baldassini 69364 Lyon Cedex 07
69364 Lyon
04.27.85.85.90
contact