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Auteur James C. Scott |
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Titre : Homo domesticus : une histoire profonde des premiers États Type de document : Ouvrage Auteurs : James C. Scott, Auteur Editeur : Paris : La Découverte Année de publication : 2019 Importance : 301 p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7071-9923-2 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] agroécologie
[Thesagri] aménagement du territoire
[Thesagri] anthropologie : science
[Thesagri] civilisation
[Thesagri] démographie
[Thesagri] écologie
[Thesagri] histoire
[Thesagri] populationIndex. décimale : XJ-0 Généralités Note de contenu : Préface : Diaboliques céréales, de Jean-Paul Demoule
Introduction. Un récit en lambeaux : ce que je ne savais pas
1. La domestication du feu, des plantes, des animaux et... de nous-mêmes
Concentration démographique et sédentarité : l’hypothèse des zones humides
Zones humides et sédentarité
Une histoire sous-estimée
Un hiatus à expliquer
Pourquoi se mettre à cultiver ?
2. Le complexe de la domus et le réaménagement du monde naturel
De la plantation néolithique au zoo floral : les conséquences de l’agriculture
La domus comme module d’évolution
De la proie du chasseur à l’enclos du berger
Existe-t-il des phénomènes analogues chez les humains ?
Notre autodomestication
3. Zoonoses : la tempête épidémiologique parfaite
De la pénibilité croissante du labeur humain
Le camp de regroupement plurispécifique du Néolithique récent : une véritable tempête épidémiologique
Fécondité et population : une observation
4. Agroécologie de l’État archaïque
L’agrogéographie de l’émergence de l’État
Quand les céréales font l’État
Quand les murailles engendrent l’État : protection et confinement
Quand l’écriture engendre l’État : comptabilité et lisibilité
5. Contrôle des populations, servitude et guerre
L’État et l’esclavage
Esclavage et servitude en Mésopotamie
Égypte et Chine
L’esclavage comme stratégie de « ressources humaines »
Capitalisme de rapine et construction de l’État
La spécificité de l’esclavage et de la servitude en Mésopotamie
Une note spéculative sur la domestication, le travail pénible et l’esclavage
6. Fragilité de l’État archaïque : effondrement et désagrégation
Morbidité de l’État archaïque : aiguë ou chronique ?
L’origine des maladies : hypersédentarité, mobilité et État
Politicide : guerres et exploitation du noyau central
Plaidoyer pour l’effondrement
7. L’âge d’or des barbares
Les civilisations et leur pénombre barbare
Géographie barbare, écologie barbare
Logique de la razzia
Routes commerciales et noyaux céréaliers imposables
Les barbares, jumeaux cachés de la civilisation
Un âge d’or ?Homo domesticus : une histoire profonde des premiers États [Ouvrage] / James C. Scott, Auteur . - Paris : La Découverte, 2019 . - 301 p.
ISBN : 978-2-7071-9923-2
Langues : Français (fre)
Catégories : [Thesagri] agroécologie
[Thesagri] aménagement du territoire
[Thesagri] anthropologie : science
[Thesagri] civilisation
[Thesagri] démographie
[Thesagri] écologie
[Thesagri] histoire
[Thesagri] populationIndex. décimale : XJ-0 Généralités Note de contenu : Préface : Diaboliques céréales, de Jean-Paul Demoule
Introduction. Un récit en lambeaux : ce que je ne savais pas
1. La domestication du feu, des plantes, des animaux et... de nous-mêmes
Concentration démographique et sédentarité : l’hypothèse des zones humides
Zones humides et sédentarité
Une histoire sous-estimée
Un hiatus à expliquer
Pourquoi se mettre à cultiver ?
2. Le complexe de la domus et le réaménagement du monde naturel
De la plantation néolithique au zoo floral : les conséquences de l’agriculture
La domus comme module d’évolution
De la proie du chasseur à l’enclos du berger
Existe-t-il des phénomènes analogues chez les humains ?
Notre autodomestication
3. Zoonoses : la tempête épidémiologique parfaite
De la pénibilité croissante du labeur humain
Le camp de regroupement plurispécifique du Néolithique récent : une véritable tempête épidémiologique
Fécondité et population : une observation
4. Agroécologie de l’État archaïque
L’agrogéographie de l’émergence de l’État
Quand les céréales font l’État
Quand les murailles engendrent l’État : protection et confinement
Quand l’écriture engendre l’État : comptabilité et lisibilité
5. Contrôle des populations, servitude et guerre
L’État et l’esclavage
Esclavage et servitude en Mésopotamie
Égypte et Chine
L’esclavage comme stratégie de « ressources humaines »
Capitalisme de rapine et construction de l’État
La spécificité de l’esclavage et de la servitude en Mésopotamie
Une note spéculative sur la domestication, le travail pénible et l’esclavage
6. Fragilité de l’État archaïque : effondrement et désagrégation
Morbidité de l’État archaïque : aiguë ou chronique ?
L’origine des maladies : hypersédentarité, mobilité et État
Politicide : guerres et exploitation du noyau central
Plaidoyer pour l’effondrement
7. L’âge d’or des barbares
Les civilisations et leur pénombre barbare
Géographie barbare, écologie barbare
Logique de la razzia
Routes commerciales et noyaux céréaliers imposables
Les barbares, jumeaux cachés de la civilisation
Un âge d’or ?Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-00004795 XJ-0200 Livre Salle de lecture Documentaires Sorti jusqu'au 17/11/2023
Titre : Zomia ou L'art de ne pas être gouverné Type de document : Ouvrage Auteurs : James C. Scott, Auteur Editeur : Paris : Éditions du Seuil Année de publication : 2013 Importance : 529 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-104992-3 Langues : Français (fre) Catégories : [Thesagri] civilisation
[Thesagri] conflit social
[Thesagri] droit des peuples à disposer d'eux-mêmes
[Thesagri] histoire
[Thesagri] peuple d'AsieIndex. décimale : Note de contenu : Depuis deux mille ans, les communautés montagneuses d’une vaste région d’Asie du Sud-Est refusent obstinément leur intégration à l’État. Zomia : c’est le nom de cette zone d’insoumission qui n’apparaît sur aucune carte, où les fugitifs – environ 100 millions de personnes –, se sont réfugiés pour échapper au contrôle des gouvernements des plaines. Traités comme des « barbares » par les États qui cherchaient à les soumettre, ces peuples nomades ont mis en place des stratégies de résistance parfois surprenantes pour échapper à l’État, synonyme de travail forcé, d’impôt, de conscription.
Privilégiant des modèles politiques d’auto-organisation comme alternative au Léviathan étatique, certains sont allés jusqu’à choisir d’abandonner l’écriture pour éviter la consignation, synonyme d’appropriation de leur mémoire et de leur identité. Poursuivant les intuitions et travaux de Pierre Clastres et Michel Foucault, l’auteur nous propose une étonnante contre-histoire de la modernité. Car Zomia met au défi les délimitations géographiques traditionnelles et les évidences politiques, et pose des questions essentielles : que signifie la « civilisation » ? Que peut-on apprendre des peuples qui ont voulu y échapper ? Quelle est la nature des relations entre États, territoire, populations, frontières ? Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la disparition de la rebelle Zomia paraît inéluctable.
Mais son histoire nous rappelle que la « civilisation » peut être synonyme d’oppression, et que le sens de l’histoire n’est aussi pas univoque qu’on le croit.Zomia ou L'art de ne pas être gouverné [Ouvrage] / James C. Scott, Auteur . - Paris : Éditions du Seuil, 2013 . - 529 p.
ISBN : 978-2-02-104992-3
Langues : Français (fre)
Catégories : [Thesagri] civilisation
[Thesagri] conflit social
[Thesagri] droit des peuples à disposer d'eux-mêmes
[Thesagri] histoire
[Thesagri] peuple d'AsieIndex. décimale : Note de contenu : Depuis deux mille ans, les communautés montagneuses d’une vaste région d’Asie du Sud-Est refusent obstinément leur intégration à l’État. Zomia : c’est le nom de cette zone d’insoumission qui n’apparaît sur aucune carte, où les fugitifs – environ 100 millions de personnes –, se sont réfugiés pour échapper au contrôle des gouvernements des plaines. Traités comme des « barbares » par les États qui cherchaient à les soumettre, ces peuples nomades ont mis en place des stratégies de résistance parfois surprenantes pour échapper à l’État, synonyme de travail forcé, d’impôt, de conscription.
Privilégiant des modèles politiques d’auto-organisation comme alternative au Léviathan étatique, certains sont allés jusqu’à choisir d’abandonner l’écriture pour éviter la consignation, synonyme d’appropriation de leur mémoire et de leur identité. Poursuivant les intuitions et travaux de Pierre Clastres et Michel Foucault, l’auteur nous propose une étonnante contre-histoire de la modernité. Car Zomia met au défi les délimitations géographiques traditionnelles et les évidences politiques, et pose des questions essentielles : que signifie la « civilisation » ? Que peut-on apprendre des peuples qui ont voulu y échapper ? Quelle est la nature des relations entre États, territoire, populations, frontières ? Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la disparition de la rebelle Zomia paraît inéluctable.
Mais son histoire nous rappelle que la « civilisation » peut être synonyme d’oppression, et que le sens de l’histoire n’est aussi pas univoque qu’on le croit.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité DOC-00001105 XA-0459 Livre Salle de lecture Documentaires Disponible
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